RENSEIGNEMENTS – CONTACT
Nice – Toulon – Digne – Gap : fr. Didier VERNAY – Aumônier régional
Corse : fr. Louis-Marie ARIÑO – DURAND – Aumônier régional
Adresse : Couvent dominicain
9, rue Saint-François-de-Paule 06000 NICE
Tél. : 06 07 21 57 03
Fax : 04 92 17 41 01
Mail : didier.vernay@free.fr
Site : /rosaire.org/
Nées en 1955 pour rejoindre les personnes loin de l’Eglise, les Equipes du Rosaire se trouvent en plein accord avec le souci des évêques « Proposer la foi dans la société actuelle »
Ce qui anime les Equipes du Rosaire c’est la passion de l’Evangile et le salut des hommes.
Lorsque l’on écoute quelques uns des 109000 membres de ce mouvement, ou que l’on entrouve la porte d’une de ses 11000 équipes, on a un tout autre jugement et l’on est frappé par les trésors d’humanité, de foi, de fraternité, de solidarité, et de rayonnement missionnaire que l’on y trouve.
Les Equipes du Rosaire sont un mouvement bien intégré dans l’Eglise, et répondant aux besoins du monde d’aujourd’hui.
« Avec le partage de la Parole et la réponse à l’isolement des gens, les Equipes du Rosaire participent à la nouvelle évangélisation ». Ce partage de la Parole et de la fraternité transforme littéralement des vies et retisse la communauté humaine et ecclésiale.
Quelques paroles du Pére Eyquem, cofondateur des Equipes avec Colette Couvreur.
« Pourquoi les Equipes du Rosaire ? Sinon pour transmettre l’espérance apportée par l’Evangile ? Que faites-vous, lorsque vous vous réunissez chez vous dans vos maisons, dans vos quartiers ?
Que faites vous sinon proclamer cette éspérance, et la proclamer avec Marie ?
Si les Equipes du Rosaire n’avaient pas cette espérance à proposer aux hommes, dites-moi, à quoi serviraient-elles ?
A quoi bon se donner quelque fois la peine que vous vous donnez pour être fidèles à vos réunions, – et pour rendre sainte votre vie, afin que votre cœur puisse rendre gloire à Dieu et que votre parole soit porteuse de vie – à quoi serviraient ces efforts, ces publications, ces echanges de lettres entre vous et nous, et j’oserais même le dire, à quoi bon tout cela si finalement nos n’étions pas porteurs de l’espérance apportée par l’Evangile. »